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Parce qu’il fascine, suscite l’émotion, la détente, le voyage et sublime une pièce, l’art est une passion partagée par beaucoup. Et pourtant, la proportion d’adeptes qui passent réellement de l’intérêt à l’acte d’achat d’une œuvre d’art n’est pas si élevée. Elitiste ? Trop cher ? Inaccessible ? Codifié ?
Les raisons invoquées pour ne pas passées à l’acte d’achat d’une œuvre d’art sont nombreuses, mais la principale identifiée reste le manque d’informations et d’accompagnement dans la démarche. C’est toute la raison d’être de KAZoART, plateforme de référence en France dans la vente d’art en direct entre artistes et amateurs d’art qui désacralise le secteur en rendant accessible depuis internet des oeuvres certifiés.
Afin d’éclairer les amateurs d’art sur les bons reflexes à avoir lors d’une acquisition, la startup a réalisé un guide dont sont extraits les quelques conseils ci-dessous.
La question du prix d’une œuvre d’art est sujet sensible et délicat, et le néophyte peut être facilement perdu face à des différences de prix entre deux artistes, ou même pour des œuvres d’un même artiste. Nous avons esquissé ici les grandes lignes qui aideront à décrypter et comprendre les éléments qui entrent en compte dans la fixation du prix d’une œuvre d’art :
Là où les techniques employées influencent aussi considérablement le prix d’une œuvre d’art. Peinture, sculpture, dessin ou photographie, chaque technique répond à ses propres codes. Les matériaux utilisés pour la réalisation de l’œuvre influencent notamment le prix : une sculpture en marbre ou en verre se vendra certainement plus cher qu’une sculpture en bois, précisément parce que le matériau est plus noble et le travail de cette matière moins aisé.
Toutes les périodes artistiques ne s’évaluent pas de la même manière et certaines sont plus cotées que d’autres. Une oeuvre ancienne peut par exemple être dévaluée car elle n’appartient pas à une période “reconnue” d’un artiste, ou inversement voir sa valeur d’apprécier si elle correspond à une phase de création saluée par la critique.
En règle générale, plus une œuvre est grande, plus elle est chère. Et pour cause, les coûts précédemment évoqués ne sont pas les mêmes. Mais la technique et les matériaux employés peuvent être assez décisifs dans la fixation du prix, tout comme la période de référence pour l’artiste s’il est déjà reconnu, par exemple.
N’appliquez donc pas forcément cette règle à la lettre.
Le certificat d’authenticité est la carte d’identité d’une œuvre d’art. C’est un document unique qui permet d’attester de l’authenticité de l’œuvre et qui délivre des informations clés sur cette dernière. Par ce document, vous avez la certitude que la peinture, la sculpture, la photographie ou toute autre œuvre originale que vous avez acquise a bien été réalisée par un artiste en particulier. Il est donc capital de conserver le certificat d’authenticité, tout autant que l’œuvre d’art elle-même !
Ce document est remis systématiquement lors de l’achat d’une œuvre d’art originale, afin que vous puissiez avoir la traçabilité de l’œuvre achetée. Il est d’autant plus important si vous désirez la revendre un jour. Une facture ne tiendra jamais lieu de certificat d’authenticité !
Grâce à ce document, vous pourrez rapidement faire évaluer la valeur de l’œuvre par un expert, surtout si l’artiste voit sa cote s’apprécier dans le temps.
Le titre de l’œuvre, le nom de l’artiste, le lieu et l’année de création de l’œuvre, les techniques employées et supports utilisés, les dimensions de l’œuvre, s’il s’agit d’un original ou d’une édition limitée (si oui, son numéro d’identification sur le nombre total d’exemplaires), la signature de l’artiste, la date de délivrance du certificat.
Votre coup de cœur est hors budget ? Ne baissez pas les bras.
Si vous souhaitez vraiment acquérir un original, vous pouvez opter pour une négociation du prix de l’œuvre. Certaines galeries ou marchands d’art sont ouverts à la négociation et peuvent consentir des rabais allant jusqu’à 10 à 15%.
Soyez bien avertis de la cote d’un artiste car plus celle-ci est élevée, plus il vous sera difficile voire impossible de négocier le prix d’une de ses œuvres. L’intérêt est alors de garder les artistes émergents dans sa ligne d’horizon car leur cote n’est pas encore définie. Les remises de prix seront de fait plus envisageables avec ce type d’artistes.
Retrouvez l’intégralité du Guide du Collectionneur par KAZoART
trublion 31/05/2019 08:25
Bernie 02/06/2019 17:17
dom 31/05/2019 06:14
Bernie 02/06/2019 17:18