Plongez dans un univers captivant à travers les pages de « Et Shanghai demeure » de Marie-Astrid Prache, où se dévoile le destin émouvant d’une muse oubliée, Larissa Andersen. Originaire de Sibérie, elle a connu l’exil en Chine en 1922, devenant ainsi danseuse, poète, muse, et peut-être même espionne. Larissa Andersen, une femme d’une liberté et d’une intensité hors du commun, a marqué de son empreinte les heures glorieuses du « Paris de l’Orient », Paris qui ne se trouve pas en France, mais à Shanghai.
Presque un siècle plus tard, une femme, en quête d’oubli dans les rues effervescentes de Shanghai, croise le regard de Larissa Andersen. Cette rencontre fortuite devient une révélation, un appel irrésistible à marcher dans les pas de cette figure énigmatique. Animée par le désir de recueillir son ombre et de restaurer sa mémoire, la protagoniste de l’histoire explore chaque piste avec acharnement, cherchant à percer les mystères entourant cette apparition intrigante. À travers les photographies, les journaux intimes, les lettres et les poèmes laissés par Larissa Andersen, un dialogue empreint de sensibilité se tisse entre ces deux femmes, à la croisée des chemins de leur existence.
De cette rencontre de destins s’élève une ode poignante à Shanghai, cette cité insaisissable qui se nourrit de l’eau qui l’entoure, ville d’accueil où les êtres ne font que passer sans jamais réellement s’ancrer.
L’émouvant destin d’une muse oubliée.
Larissa Andersen est une énigme.
Née en Sibérie, exilée en Chine en 1922, elle est danseuse, poète, muse, apatride, peut-être espionne. Femme infiniment libre et vivante, amoureuse endiablée, artiste accomplie, qui est cette inconnue qui a fait les grandes heures du Paris de l’Orient ?
Près d’un siècle plus tard, une autre femme en quête d’oubli à Shanghai croise le regard de Larissa Andersen. C’est une révélation. Elle veut marcher dans ses pas, recueillir son ombre, restaurer la mémoire. Elle ne néglige aucune piste pour mener l’enquête sur cette mystérieuse apparition. À travers ses photos, ses journaux intimes, ses lettres, ses poèmes, un dialogue sensible se tisse entre ces deux femmes au carrefour de leur existence.
De ces destins croisés naît une ode poignante à Shanghai, ville aussi insaisissable que l’eau dont elle est tirée, terre d’accueil où, toujours, l’on ne fait que passer.
Marie-Astrid Prache
Marie-Astrid Prache est née à Paris en 1983. Voyageuse et lectrice enthousiaste, elle hérite de sa mère une fascination profonde pour la culture russe. Après avoir vécu successivement à Moscou et Minneapolis, Marie-Astrid Prache passe plusieurs années à Shanghai. Elle se passionne pour l’histoire de cette capitale cosmopolite à la croisée des influences culturelles.
Et Shanghai demeure
Marie-Astrid Prache
472 pages
Éditions Paulsen
En parcourant les pages fascinantes de « Et Shanghai demeure » de Marie-Astrid Prache, nous avons été transportés dans un monde où les destins se croisent et les mystères se dévoilent. Larissa Andersen, cette muse oubliée, a su captiver nos esprits par sa vie intrigante et ses multiples facettes. De Shanghai à Paris, en passant par la Sibérie, l’auteure nous a fait voyager à travers le temps et l’espace, à la découverte d’une époque révolue et d’une histoire méconnue.
Ce récit poignant et sensible nous a offert une plongée dans les profondeurs de l’âme humaine, explorant les thèmes de la liberté, de l’amour, de l’art et de l’identité. La rencontre entre Larissa Andersen et la protagoniste de l’histoire à Shanghai a donné naissance à un dialogue intense, où les émotions s’entremêlent et les vies se connectent.
Maintenant que vous avez exploré cette histoire captivante, nous vous invitons à exprimer votre avis. Qu’avez-vous ressenti en suivant les pas de Larissa Andersen ? Quels éléments vous ont le plus marqué ? N’hésitez pas à partager vos réflexions et impressions dans les commentaires ci-dessous. Votre voix contribuera à enrichir cette discussion autour de « Et Shanghai demeure » et de l’écriture envoûtante de Marie-Astrid Prache.
Que cette invitation à l’échange marque le début d’une réflexion commune, où les lecteurs se rejoignent pour partager leurs interprétations, leurs émotions et leurs réflexions, tissant ainsi un lien virtuel entre eux, à l’image des liens tissés entre les personnages de ce roman envoûtant.
4 commentaires
Bien cette espionne ….. Paris, j’en connais aussi 3 aux états unis
Très intéressant.
Elle a heureusement laissé quelques indices
Oui, pour notre soif de savoir.