La Maman de Casa, le roman de Rémy Belhomme, ce n’est ni un conte, ni une tragédie, ni une comédie ; ce roman, c’est son histoire.
La Maman de Casa
“… Lorsque j’ai posé le pied sur le quai je tenais à la main droite un minuscule ours en peluche habillé en cow-boy et à la bouche un accent du midi qui pour un parisien des années cinquante frisait la Pagnolade.
Le premier ne m’a jamais quitté et sa petite silhouette râpée trône encore avec bienveillance aux côtés d’autres trésors sur une étagère de ma chambre. Le second m’a toujours accompagné avec discrétion, comme un accent bien élevé. Il a gentiment refait surface chaque fois que l’occasion s’est présentée de vider quelques verres avec mes amis du sud…”
Son histoire… elle a tout d’un conte, d’un roman, d’une comédie, d’une tragédie…
Rémy Belhomme
À 14 ans, il apprend la guitare dans la banlieue est parisienne et compose ses premières chansons. Viré du lycée en première, il vit de petits boulots.
C’est dans un vieux fourgon Wolkswagen qu’il arrive en Ardèche en 1974. Maçon, agriculteur puis diplômé en droit immobilier, son banjo et sa plume sont installés aux Vans.
4 commentaires
Une histoire qui a l’air passionnante et touchante à la fois et que tu nous donnes envie de découvrir
C’est exactement cela.
Cet ouvrage a été retenu lors de la 1ère selection Prix Goncourt du 1er roman, il est finaliste parmi 9 « noms » de grandes maison d’éditions pour le Pris Jean-Jacques Rousseau, livre 1ère sélection pour le Prix Maison Rouge…et en attente pour d’autres Prix. L’auteur est invité en tant que VIP au salon dul ivre de MONACO….que dire d’autre (sourire) un livre de qualité tant sur le plan humain que sur l »écriture.
Merci pour ce complément