Le premier trimestriel consacré aux métiers d’art, aux savoir-faire d’excellence et à la création contemporaine est de retour en kiosques dès le 30 juin.
Un objet utile et précieux qui fait figure d’exception dans l’offre culturelle française, en phase avec les aspirations de l’époque : le besoin de sens, l’envie du temps « long », le désir de « faire » incarnés par le paysage sociétal actuel et caractérisés par les volontés de reconversion.
GESTES/S : le numéro 2 explore le thème du “végétal”
Un deuxième numéro qui incarne pleinement sa promesse initiale : “Mettre en lumière les métiers d’art et les savoir-faire d’excellence, vecteurs essentiels de l’image et de la culture d’un pays, d’une région.”
Dans le prolongement d’un premier numéro très convaincant, GESTE/S, l’unique magazine consacré à la création patrimoniale et contemporaine, est conforté dans sa démarche et publie un deuxième numéro estival autour de la thématique du “végétal”.
Fondé par Yamina Benaï, contributrice du Quotidien de l’Art (Groupe Beaux Arts & Cie, fondé par Frédéric Jousset), qui co-dirige le magazine avec Emmanuel Rubin, GESTE/S est placé sous la direction artistique d’Aldo Buscalferri. Chaque numéro épouse les saisons pour dérouler quatre fois par an un contenu dense, généreux, magnifiquement illustré, à la rencontre de ceux qui font et de ce qui fait le geste.
UN OBJET UTILE ET PRÉCIEUX
Publié par le Groupe de référence Beaux Arts & Cie, GESTE/S fait figure d’exception dans l’offre culturelle française. Pensé et réalisé pour un lectorat mixte consommateur d’art, d’art de vivre et de luxe, GESTE/S est construit sur une idée forte née bien avant la pandémie, mais confortée par l’après crise sanitaire : explorer et mettre en valeur les métiers d’art et les savoir-faire d’excellence, sous l’angle à la fois patrimonial et contemporain, afin d’en (dé)montrer toute la modernité. GESTE/S répond aux aspirations de l’époque : l’envie du temps long, le désir de “faire” et la recherche de sens, en un retour aux fondamentaux.
GESTE/S incarne le paysage sociétal actuel marqué par les volontés de reconversion, l’intérêt pour la sensibilité et la virtuosité de la main, la passion retrouvée pour le patrimoine, et la faculté rare des métiers d’art et des savoir-faire d’excellence à s’inscrire dans la modernité.
Vecteur économique important, le marché de l’artisanat d’art – qui représente 19 milliards d’euros dont 8 à l’exportation – a récemment fait l’objet d’une attention toute particulière avec la déclaration de la nouvelle ministre de la Culture Rima Abdul-Malak qui entend : “porter un grand plan pour le développement des métiers d’art, en collaboration avec les ministères qui seront concernés. C’est je pense vital pour préserver nos savoir-faire, les perpétuer mais aussi pour créer des métiers d’avenir pour notre jeunesse.”
Une énergie neuve pour les filières, qui vient souligner la nécessité prégnante de soutenir ces métiers de l’ombre, jusqu’ici peu valorisés.
VÉGÉTAL, UN THÈME ARTISTIQUE PHARE
Après “L’Humain”, ce numéro 2 est dédié au génie du “Végétal”, l’une des thématiques actuelles essentielles. Selon Yamina Benaï, fondatrice et co-rédactrice en chef, “Le ‘végétal’ est un axe de travail essentiel à nos yeux, car en lien avec des questionnements forts de l’époque. Il est source d’inspiration et motif historiquement récurrent de l’art et de l’artisanat d’excellence, mais également matière première de la création patrimoniale et contemporaine (mobilier, objets de décoration…), enfin, il est un terrain de réflexion indispensable sur les problématiques environnementales.”
UNE SAGA EXCLUSIVE
Le premier numéro inaugurait un reportage sériel, dévoilant en exclusivité – et en partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller, mécène des métiers d’art – la restauration du grand orgue de Notre-Dame de Paris.
Ce nouveau numéro conduit les lecteurs dans les coulisses de la restauration des 22 tableaux décrochés dans la cathédrale, en cours de restauration dans un atelier de la région parisienne.
Chaque numéro est structuré autour de six Sections dont deux Portfolios de travaux réalisés spécifiquement pour GESTE/S par un artisan, un photographe, un artiste, un illustrateur…
Les invités de ce numéro sont Vincent Laval, artiste-marcheur fasciné par les territoires forestiers et Vivian Caccuri, qui s’exprime via la broderie sur toile de moustiquaire.
Intersections ous forme de textes au long et de brèves, ainsi que de rubriques confiées à des signatures expertes.
L’Esprit du geste s’intéresse aux acteurs – directs ou éloignés – et aux grands enjeux du secteur via des rencontres, conversations, analyses, portraits. Ce numéro propose ainsi une visite dans l’atelier du plasticien Jean-Marie Appriou, mais aussi un long portrait du précurseur Josef Hoffmann, ou encore une rencontre avec le créateur d’une matériauthèque innovante, véritable mine d’idées.
Théma déploie un thème contemporain ouvrant la réflexion et permettant de raconter la pertinence, la modernité des métiers d’art, des savoir-faire d’excellence et des entreprises du patrimoine vivant, ceux qui les pratiquent et les mettent en œuvre, dans une approche transversale (entretiens, visites d’ateliers, découverte de manufactures et d’entreprises du patrimoine vivant…). À découvrir dans ce numéro, notamment, un reportage dans l’Atelier Luma et au restaurant étoilé La Chassagnette à Arles, qui travaillent avec les matières premières locales.
Vagabondage explore une ville, une région, berceau d’un métier d’art, d’un savoir-faire d’excellence. Cette fois, un reportage déployé sur 20 pages guide les lecteurs sur les routes du papier, au coeur de la région Grand Est et de la région Rhône-Alpes, à la découverte de maisons mythiques, telles Arches, Canson…
Pour ce deuxième numéro, GESTE/S propose un entretien de fond avec Philippe Huppé, ancien député de l’Hérault et Président de l’association Ville et Métiers d’Art, co-auteur d’un rapport sur “l’impact de la crise de la Covid-19 et les nouvelles mutations du secteur des métiers d’excellence et des métiers d’art”, présenté en février dernier à l’Assemblé Nationale.
GESTE/S est ainsi une porte d’entrée vers un univers intelligent, sensible, soutenu par des signatures reconnues.
“Avec GESTE/S, c’est un nouveau territoire d’expression que nous investissons, celui des 281 métiers d’art répertoriés officiellement, des innombrables savoir-faire d’excellence qui irriguent le secteur du luxe dans toutes ses expressions et des près de 1 400 entreprises labellisées patrimoine vivant. Très injustement dévalorisés, car associés à leur seule expertise manuelle, ces métiers riches de sens, d’histoire et d’intelligence incarnent un patrimoine maîtrisé et anticipent déjà leur futur. GESTE/S constitue la chambre d’écho de leur extraordinaire modernité”. Solenne Blanc – Directrice générale de Beaux Arts & Cie
4 commentaires
La presse écrite a encore de beaux jours devant elle…
oui, heureusement
Voilà en effet un magazine qui manquait et aura je l’espère du succès ! Merci de nous en parler
je pense que le succès est au rendez-vous