Plongez-vous dans les pages de « État des vieux », ce roman émouvant et envoûtant signé JY Hache, et laissez-vous porter par une histoire qui transcende le temps et les générations. L’auteur déploie avec une sincérité touchante le portrait d’une époque depuis longtemps révolue, mais qui continue de battre dans le cœur de l’auteur. C’est un véritable voyage dans le passé, une réminiscence de jours où les rires des villageois résonnaient au rythme des saisons et où les valeurs immuables se transmettaient de génération en génération.
À travers les yeux du narrateur, vous vous retrouverez plongé dans les ruelles de ce village pittoresque, témoin silencieux du labeur acharné des anciens et du doux balancement des champs. Les souvenirs remontent à la surface, guidés par la plume habile de JY Hache, qui non seulement évoque les modes de vie d’autrefois, mais aussi les émotions qui ont façonné ces moments. La rugosité du travail et la simplicité des interactions se révèlent comme les fils conducteurs d’une époque où la communauté était le pilier fondamental.
Tout en teintant ses mots d’une touche de mélancolie, l’auteur ne se contente pas de brosser un tableau nostalgique. Il souligne avec un regard vif et une pointe d’humour l’ampleur des changements qui ont eu lieu, dépassant ainsi les frontières de l’individu pour toucher à l’essence même de notre civilisation. Au cœur de cette toile tissée par JY Hache, se dessine également l’histoire captivante d’un jeune homme aux rêves ambitieux. Un rêveur qui brave les obstacles pour trouver sa place dans l’univers des courses hippiques, tout en cherchant l’amour et le succès.
La plume de JY Hache est nourrie de la richesse des classiques littéraires, et dans « État des vieux », il offre une fois de plus son talent incontestable pour capturer la subtilité des émotions humaines. Ce roman s’inscrit dans la lignée de ses œuvres antérieures, marquées par une finesse inimitable, dont « Le Tableau », « La petite fille à la balançoire », et bien d’autres encore. Laissez-vous envoûter par cette histoire qui transcende le temps et les frontières, et explorez un monde où le passé et le présent se rejoignent avec tendresse et émotion.
Un voyage émotionnel à travers les souvenirs d’antan et les rêves d’aujourd’hui
« Il y a cent façons d’élever un gosse, mais le premier article ou commandement est de le respecter, de l’aimer avec bienveillance et intelligence, c’est-à-dire fermeté et foi, en lui inculquant des valeurs irrécusables qui respectent sa fraîcheur et son âme et l’aident à grandir, en faisant confiance aux adultes censés être exemplaires. »
« Avec le temps va, tout s’en va », chantait Léo Ferré.
L’auteur remonte le temps jusqu’à une enfance encore bien présente à l’esprit. Il revisite les lieux et les façons d’autrefois, notamment agricoles, raconte les anciens, évoque la dureté du travail d’alors, mais aussi les valeurs qui soutenaient les communautés villageoises.
Au-delà du récit nostalgique, il constate avec verve et humour la fin d’une époque qui dépasse l’individu pour toucher à tout un pan de la civilisation. Le narrateur y mêle l’histoire d’un jeune homme qui rêve de devenir jockey et quitte sa famille pour chercher une réussite sentimentale et professionnelle dans le milieu hippique, nonobstant toutes les embûches.
Nourri d’œuvres classiques, JY Hache livre un nouvel opus à la finesse caractéristique. Il est également l’auteur, sous le nom de Jean-Hubert Mabille du « Tableau » (2018), de « La petite fille à la balançoire » (2019), « La main sur le corps » (2020), « Le livre d’Émile » (2021) et « Les chemins de basse ville » (2022), parus aux Éditions du Panthéon.
JY Hache, l’auteur
Nourri d’œuvres classiques, JY Hache livre un nouvel opus à la finesse caractéristique. Il est par ailleurs l’auteur, sous le nom de Jean-Hubert Mabille du « Tableau » (2018), de « La petite fille à la balançoire » (2019), « La main sur le corps » (2020), « Le livre d’Émile » (2021) et « Les chemins de basse ville » (2022), parus aux Éditions du Panthéon.
État des vieux
JY Hache
200 pages
Éditions du Panthéon, 2023
En refermant les pages de « État des Vieux », c’est comme si l’on quittait à regret un voyage intemporel. JY Hache nous a guidés avec une empathie palpable à travers les rues pavées de ce village oublié, où les éclats de rire et les échos des labours résonnent encore. Les mots délicatement choisis par l’auteur ont ravivé des souvenirs enfouis et des émotions qui transcendent les barrières du temps.
Ce roman n’est pas simplement un récit de jours passés, mais une célébration vibrante de l’humanité qui persiste malgré les vicissitudes du changement. Dans chaque ligne, chaque chapitre, JY Hache nous rappelle que les fondations de nos vies modernes reposent sur les valeurs ancestrales qui ont été inculquées par nos prédécesseurs. Les rêves et les aspirations des personnages s’entrelacent avec les rires et les larmes des villageois d’antan, créant une symphonie émouvante qui résonne dans nos cœurs.
Alors que nous refermons ce livre, nous emportons avec nous la leçon précieuse que la véritable essence de l’humanité réside dans la manière dont nous nous connectons avec notre passé, tout en poursuivant nos rêves futurs. « État des Vieux » nous rappelle que l’empathie, la bienveillance et la persévérance sont les fils conducteurs qui unissent les générations et donnent un sens profond à notre existence.
Que ce roman continue de nous inspirer à chérir nos souvenirs, à cultiver nos rêves et à marcher fièrement sur les sentiers tracés par ceux qui ont précédé, tout en laissant notre propre empreinte sur le monde. « État des Vieux » restera un rappel chaleureux que, malgré les années qui s’écoulent, les histoires qui nous ont façonnés continueront de résonner, éternellement vivantes en nous.
6 commentaires
» L’empathie, la bienveillance et la persévérance » ces mots, sortis de la 4 ème de couv je pense, me laisse perplexe. Je pense que le roman est sûrement intéressant, c’est sans doute une forme de témoignange d’une époque disparue. Ceci dit, je ne suis pas certaine d’adhérer à ces valeurs. L’empathie et la bienveillance sont des mots à la mode qui m’agacent un peu. Reflets d’une époque ou la persévérance et le respect ajoutés à la valeur de l’effort n’ont plus qu’une toute petite place et c’est ben dommage.
J’avoue ne pas avoir pensé au fait que ces mots sont à la mode. Je comprends ton point de vue.
Une époque ou le mot liberté avait un sens en France ? 60/70/80…..
Oui, un vrai sens
et je dirais que plus d’ un doit regretter la vie d’ il y a 50 ans
Les 30 glorieuses, il est difficile de ne pas préférer cette époque.