Un roman vrai, percutant et drôle sur le quotidien des maisons de retraites ; des personnages attachants qu’on n’oublie pas, des scènes désopilantes, des dialogues qui vous font éclater de rire.
Si belles en ce mouroir
Un roman vrai, percutant et drôle sur le quotidien des maisons de retraites ; des personnages attachants qu’on n’oublie pas, des scènes désopilantes, des dialogues qui vous font éclater de rire. Et dans le fond, une critique sociale qui donne à réfléchir sur ce que deviennent nos parents et grands-parents lorsqu’ils ont perdu leur autonomie.
Dans une résidence pour personnes âgées, trois vieilles dames de quatre-vingts, quatre-vingtcinq et cent ans, remâchent des idées de vengeance contre des hommes qui les ont maltraitées : l’une un mari pervers, l’autre un voisin qui a tué son chien, la troisième un gendre qui lui a pris sa maison. Les histoires du passé et les élucubrations meurtrières s’entremêlent aux parties de scrabble, promenades dans le parc, séances de kiné, bisbilles avec l’aide-soignante, repas infects, décès d’un voisin de chambre, en bref tout ce qui fait le quotidien des résidents. On rit la larme à l’œil, on s’indigne, on se révolte…
Conjuguant récit à énigmes, comédie et satire sociale, Marie Laborde décrit, dans un style limpide et avec un humour décapant, les aléas du grand âge.
Marie Laborde, l’autrice
Après avoir signé plusieurs romans dans les années 1970 à 2000, parmi lesquels Violette sur cour (Éditions Libres/Hallier, 1978), Bébé d’amour (Stock, 1979) ou Le Poids du cartable (Albin Michel, 1996).
Marie Laborde a pris un long congé de l’écriture. Elle revient aujourd’hui avec Si belles en ce mouroir, né de ses propres observations.
10 commentaires
aurait elle fait un tour dans des ehpads !
certainement je pense
Sos a eu sa mère pendant 5 ans en maison de retraite …. Si elle ne venait pas tous les jours, elle n’aurait pas durer 5 ans…. Les résidents sont abandonnées, les médicaments donnés aux mauvaises personnes sont légions, le personnel va et vient constamment (payé avec une élastique), le directeur a changé 5 fois en 5 ans….. et pendant ce temps gouvernement et conseil départementaux ferment les yeux sur les conditions en maison de retraite…..
Bon Lundi
Pat
J’ai tout fait pour que ma maman évite une maison de retraite…
Tentée… j’ai le temps de lire en ce moment !
moi aussi ^^
brrr le titre effraie. bien trouvé la couverture
oui et c’est une réalité…
Le titre n’est pas rassurant mais en lisant l’article j’ai envie de le lire !
c’est une lecture que tu apprécieras.