Entre portrait et autoportrait, admiration et rancœur, Jean-Marie Barbu dévoile le tableau d'une relation père-fils singulière.
Mon père, en toute subjectivité
« Depuis tant d’années, je porte en moi bien des choses au sujet de ce papa si différent, si particulier, Marcel Barbu. Que n’ai-je entendu à son sujet ! En bien pour les uns, en mal pour les autres… Que de propos réducteurs ou excessifs le concernant… »
À travers ce témoignage sincère et poignant, Jean-Marie Barbu rend hommage à l’homme d’exception que fut son père.
Comment a-t-il été amené à se présenter aux présidentielles de 1965 ?
Qui était Marcel Barbu ?
Les réponses à ces questions amèneront le fils à se dévoiler à travers la peinture faite du père, dans une volonté de transparence et les mots s’alignant pour dessiner une catharsis personnelle, aussi bien qu’une main tendue à ceux qui vivent ce mal connu mais peu reconnu qu’est la dépression.
Jean-Marie Barbu
En une musique profondément intime, Jean-Marie Barbu livre un pan à vif de sa mémoire. Homme brisé un temps, il évoque la nécessaire reconstruction avec une liberté de ton rare.
4 commentaires
soigner l’ esprit est plus difficile que de soigner le corps
oh que oui
Alors ça ça ne me tente pas du tout…Mais merci
ça peut arriver