Catholicisme, protestantisme, orthodoxie, Occident, Orient, Europe et sécularisation, ce sont les meilleurs spécialistes qui dressent ici un état inégalé du christianisme, de ses défis comme de ses ressources. Un livre en coédition avec la Fondation de l'innovation politique.

Le XXI Siècle du Christianisme
Que l’on soit croyant, pratiquant ou athée, comprendre l’évolution d’une religion, nous apporte un regard sur le monde dans lequel nous vivons. Je vous parle bien de comprendre, pas de croire. C’est d’ailleurs cet angle que je trouve particulièrement pertinent dans ce livre. Il s’agit de comprendre comment le christianisme a pu perdre sa suprématie dans la société.
L’enquête est largement documentée, ce qui est un vrai plus. L’écriture du livre est abordable pour tout le monde, même les passages liés à la théologie.
Il fallait bien la Fondation pour l'Innovation Politique (Fondapol) pour amorcer une enquête d'une telle ampleur.
Où va le christianisme, à l'heure des fake news, de la crise orthodoxe, des débats incessants sur la laïcité et sur la liberté religieuse ?
Que nous apporte-t-il dans nos relations avec l'autre – en Europe ou ailleurs ?
Que devons nous faire pour faire fructifier son héritage ?
Dix intellectuels, politologues, théologiens, historiens, ont décidé de regarder posément notre époque, de réfléchir sur notre avenir, et d'enquêter sur l'utilité de la religion dans un moment politique qui trop souvent nous désespère.
Un ouvrage édité en collaboration avec la Fondation pour l'Innovation Politique (Fondapol), sous la direction de Dominique Reynié.
Avec les contributions de Philippe Portier, Jean-Paul Willaime, JeanFrançois Colosimo, Jean-Dominique Durand, Henri Madelin, Émile Perreau-Saussine, Thierry Rambaud, Aurélien Acquier, Jean-Pascal Gond et Jacques Igalens.
Fondation pour l'innovation politique
Reconnue d'utilité publique, La Fondation pour l'innovation politique (aussi appelée Fondapol) se présente comme un espace indépendant d'expertise, de réflexion et d'échange, ayant pour objectif de contribuer au pluralisme de la pensée et au renouvellement du débat public.