À travers ces contes philosophiques, Mathéus Insen nous invite à renouer avec notre enfant intérieur, bercé par nos désirs profonds et nos tourments, en abordant des thèmes tels que le pouvoir, la mélancolie, mais aussi la joie, l’amour et la quête de sens de l’existence.
Les contes de l’Enfant du Jardin, renouer avec votre enfant intérieur
Dans un Monde en proie à la fureur du Chaos, des civilisations entières ayant sombré, il demeurait pourtant un espoir.
À travers les âges, un mystérieux être, Mélios le Magicien, avait ensemencé les germes de ce qui deviendrait le Monde de la Raison. Il n’était pas seul à l’œuvre et l’Enfant du Jardin, alors détenteur des secrets de l’âme humaine, en était le Gardien et de lui vint l’inspiration de ce renouveau bâti sur les cendres de l’ancien Monde.
L’Enfant du Jardin, telle était la source qui venait abreuver l’aventurier ou le promeneur solitaire en quête de réponses pour la paix de son âme. Et le Magicien, tel un messager, répandait cette promesse d’un Monde meilleur face à la tyrannie de l’Empire Malthusien et sa future toute puissante Mégalopole.
Valana, Enos et tant d’autres furent les nombreux héros de cette aventure, qui s’élevèrent afin que prennent vie les Cités qui accueilleraient ce Monde fait de Raison, ce Monde où l’émotion et la passion seraient porteuses de Joie dans le cœur des Hommes.
Cette histoire du Monde, Mathéus Insen, compagnon de voyage de Mélios à travers les âges, en est le conteur. Ce recueil n’est autre qu’un récit des contes de l’Enfant du Jardin berçant de sa douceur et sa rêverie ceux qui s’y aventurent.
Mathéus Insen
Médecin cancérologue, écrivant sous pseudonyme, côtoyant la souffrance et le deuil, mais aussi le courage et le combat contre l’adversité, l’auteur aime s’évader dans des univers porteurs d’espoirs et imaginer un monde empli de sagesse.
4 commentaires
Mon enfant intérieur ne m’a jamais quitté… heureusement car certains sont deja vieux à la naissance
@+
effectivement, j’en connais
J’ai l’impression que cette petite fille imaginative et sensible ne m’a jamais quittée :):) Elle avait la bougeotte et passait beaucoup de temps dehors ce qui la rendait heureuse, de courir après les papillons ou de descendre à vélo les pieds sur le guidon (là bon je l’avoue je ne le fais plus !!)
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