Avec « Mystères à Istanbul », Marie-Victoria-Frédérique Fuzelier signe une trilogie hybride, mélangeant avec brio policier et espionnage dans des proportions identiques.
Les lecteurs et lectrices sont embarqués dans une histoire palpitante, qui les tient en haleine de la première à la dernière page.
Chaque tome peut être lu séparément, même si certains personnages sont récurrents. Avec une originalité toutefois : dans l’univers de la romancière, les protagonistes secondaires jouent progressivement un rôle de premier plan, donnant ainsi une dimension particulière à l’ensemble de la trilogie.
Les deux premiers volumes ont déjà été publiés aux éditions du Lys Bleu.
Mystères à Istanbul – tome I
L’histoire se déroule dans l’univers feutré des agents secrets, avec une trame très particulière qui mélange allègrement le vol futur d’un secret trop bien gardé, d’une vengeance, d’une cupidité sans nom, le tout assaisonné de mystères et de pièges à chaque coin de page. Il faut bien attacher bien ses ceintures et ne pas trop se fier aux apparences, elles sont autant trompeuses que hasardeuses.
La féminité est maligne, mais elle ne fait pas le poids face à la trahison la plus honteuse qui soit dans ce bas monde. Cependant, que faire face à la lâcheté et au peu d’amour-propre ?
Extrait
« À leur sortie de l’aéroport, monsieur et madame Bohler se mettaient nonchalamment à la recherche d’un taxi. Les chauffeurs de taxi attendaient calmement leur tour dans leur emplacement. Soudain, un homme trapu fonça en direction des deux touristes et leur passa les menottes. Ces derniers n’avaient pas eu le temps de réaliser ce qui venait de leur arriver.
En fait, l’homme en question faisait partie de la CIA. Il avait été envoyé à Istanbul par ses supérieurs dans le but précis d’arrêter monsieur et madame Bohler, brigands de leur état.
En effet, chaque fois que dans le monde, il se produisait la découverte d’un trésor, monsieur et madame Bohler se trouvaient là comme par enchantement.
Ce jour-là, ils avaient été dénoncés par leur majordome, un dénommé Peter Livingston qui allait bientôt montrer son vrai visage. Les Bohler ne savaient pas que leur majordome était en réalité un tueur au service de la police turque.
En effet, les forces de police turques voulaient absolument s’entourer d’un maximum de précautions afin de préserver un certain sarcophage des bavardages du public, de la presse et du vol. »
Mystères à Istanbul – tome I
Marie-Victoria-Frédérique Fuzelier
116 pages
Éditions Le Lys Bleu
Mystères à Istanbul – tome II : L’échec camouflé en prise de contrôle
Le cerveau de la mission numéro un a laissé sa place au second. Alors, les agents, pour atteindre leur cœur de cible, nouent des relations avec le côté explosif et obscur de chaque être humain. Aussi, Istanbul et le carnage sont toujours dans les mémoires. Une tombe renfermant un corps, mais lequel au juste ? Une femme trahie, blessée et un homme charmeur. Une existence brisée, reconstruite, un chantage… Des animaux à la recherche d’une stabilité.
Un double visage, des révélations et la jeunesse qui met le feu aux poudres. L’amitié a-t-elle un prix et s’achète-t-elle tout comme les autres ? L’amour sauvera-t-il les rescapés ou les entraînera-t-il vers les méandres insoupçonnés de la vie ?
Extrait
Dans la famille Lyndon, Sir Edward deuxième du nom, s’était suicidé dans le Yorkshire dans lequel il possédait une jolie maison d’appoint. Sa famille ne connaissait pas cette dernière. Il avait choisi la fuite en se supprimant après avoir reçu la monnaie de sa pièce. Une lettre avait tout déclenché. C’était Alex-Aigle 5 qui avait ouvert les hostilités contre lui, car trop de faits accablants parlaient d’eux-mêmes.
La mort de cet homme était accidentelle selon les responsables du M.I.5 ainsi que pour les autorités en place. Lady Lyndon ne connaissait pas le véritable travail de son mari. Ce dernier prétendait travailler pour des hommes politiques, mais si elle avait vérifié ses dires, elle serait tombée sur une armada de secrétaires dont Daphné.
Daphné avait définitivement pris la place de Gloria. Elle avait été la maîtresse de cet homme sans aucun scrupule. Elle était jeune et trop confiante. Lorsque Sir Lyndon lui avait fait une cour assidue, elle avait fini par lui dire oui. Elle seule connaissait la magnifique maison du Yorkshire. Sir Lyndon lui offrait sans cesse des fleurs, mais pas de bijoux, car il craignait les sentiments enflammés de Gloria à son égard.
Cette jeune femme était son péché mignon. Lorsqu’ils s’absentaient de Londres, ils partaient comme deux amoureux devant le regard désapprobateur de leurs chefs respectifs. S’il avait eu le même âge qu’elle, il aurait volontiers commis une mésalliance en se mariant avec elle. Il était corrompu à tous les niveaux. Les sommes d’argent qui transitaient sur son compte en banque dans un paradis dit fiscal auraient pu vous conter une histoire des plus intéressantes sur ce monsieur qui portait un nom illustre, celui des Lyndon.
Mystères à Istanbul – tome II : L’échec camouflé en prise de contrôle
Marie-Victoria-Frédérique Fuzelier
404 pages
Éditions Le Lys Bleu
À propos de l’auteure Marie-Victoria-Frédérique Fuzelier
Marie-Victoria-Frédérique est une écrivaine aux multiples facettes qui a eu un parcours très éloigné du traditionnel « métro, boulot, dodo ».
Une carrière de business woman
Elle a commencé son parcours professionnel en alternant école de commerce, de communication et formation médicale afin de devenir déléguée technico-commerciale santé (visiteuse médicale).
Parce qu’elle réalise que cet environnement est trop éloigné de ses valeurs morales, elle intègre alors une entreprise avec laquelle elle découvre l’univers de la vente, y compris en porte-à-porte. Elle se découvre une vocation et évolue dans ce secteur en vendant notamment des vins de prestige puis des compléments alimentaires pour les sportifs (amateurs et professionnels) en France et à l’étranger.
Marie-Victoria-Frédérique a ensuite créé sa propre entreprise pour commercialiser des gels douche naturels et des huiles essentielles. C’est dans ce cadre qu’elle a publié son premier livre qui a très bien marché.
À partir de ce moment-là, dans un coin de sa tête, elle a toujours gardé le même objectif : écrire et publier sa trilogie.
Une passion pour l’écriture
« C’est moi le chef de gare, le maître des horloges et le roi du temps » dit Marie-Victoria-Frédérique. Car depuis l’enfance, elle s’est toujours lancée à corps perdu dans l’écriture.
Quand elle est haute comme trois pommes, elle rédige son journal intime et de courtes nouvelles. Elle s’inscrit aussi à des concours d’écriture, non pour gagner le cadeau offert, mais pour donner de la joie de vivre à celles et ceux qui se retrouvent esseulés dans notre société moderne.
Un jour, alors qu’elle n’est pas encore en terminale littéraire, son professeur d’anglais l’interroge et lui fait remarquer que son devoir est une véritable dissertation.
Marie-Victoria-Frédérique a alors un déclic. Grâce à ce professeur, mais aussi en souvenir de feu son grand-père paternel, elle met tout en œuvre pour perfectionner son écriture.
Elle rencontre alors un club d’écrivains dans son quartier et participe à l’élaboration d’un petit journal au sein d’un parti politique. Peu à peu, le sens de la répartie s’aiguise tels une lame d’épée chevaleresque ou le coupant d’un katana. Car il ne faut pas croire que le sens des mots est inné ! Tout s’apprend, comme elle a pu le constater maintes et maintes fois.
Aujourd’hui, Marie-Victoria-Frédérique souhaite faire connaître ses romans au plus grand nombre tout en restant fidèle à ses valeurs. Elle est ainsi très attachée à sa proximité avec ses lecteurs et lectrices, notamment pour avoir leurs retours concernant ses personnages, son histoire et sa trame. Elle désire également que son développement se fasse dans une dynamique d’entraide, de cooptation et de main tendue.
Une personnalité à part
Ses traits de caractère : joie de vivre, enthousiasme, culot, écoute, humanité, tolérance, compréhension.
Les personnes qui lui ont fait découvrir l’écriture et la littérature : sa mère, professeur de philosophie certifiée, et sa grand-mère paternelle. Cette dernière lui laissait ouvrir un coffre aux trésors renfermant une multitude de livres (dont trois de Jules Verne). Marie-Victoria-Frédérique a ainsi découvert des univers fantasmagoriques et bénéficié d’un véritable plan à suivre, comme le ferait un manuel d’utilisation, mais avec des découvertes en plus.
Sa philosophie : la vie n’est ni blanche ni noire, il existe de nombreuses teintes de gris… Il est donc possible de grandir en sagesse sans pour autant remettre en question la fameuse ligne blanche.
Sa petite voix intérieure : elle lui sert toujours de baromètre, quitte à la blâmer à sa manière lorsqu’elle va trop loin (remontrances, remords, regrets) mais toujours pour son bien.
6 commentaires
J’aimerai bien passer une nuit au Peri Palace de Istanbul et me retrouver dans la chambre d’Agatha Christie
Un bien joli fantasme.
un mélange des genres intéressant
Je trouve aussi.
Bonjour je vous remercie pour cette mise en avant de mon travail . Je suis entrain d ‘ écrire mon quatrième livre . Le numéro 2 , et le numéro sont en vente sur le site de mon éditeur http://www.lysbleueditions.com – Mystères à Istanbul – Tome 1 – L ‘ échec camouflé en prise de contrôle – Tome 2 – La louve numéro 1 accepte son chemin de vie – Tome 3 – LLB5 – 5 % sur mes livres .
Merci pour cette information sur vos publications.