Après Woorara et Carajuru, Sébastien Vidal présente son troisième polar, Akowapa. Sébastien Vidal fait souffler sur cette histoire un vent plus noir et plus féroce que dans ses précédentes publications.
Akowapa
Bien mal acquis ne profite jamais
Des personnages ordinaires, floués par la société et le système, tombent lentement dans la spirale de la colère, de la trahison, de la haine. Le début d'un engrenage qui va bouleverser un quotidien étriqué est décrypté avec justesse.
Au fil des pages, aveuglés par l’appât du gain, les personnages ordinaires en viendront à commettre le pire.
Résumé
Un fourgon de transport de fonds est attaqué par trois hommes. Butin : un million deux cent mille euros en petites coupures qui étaient destinées à alimenter les distributeurs de billets de la région. Mais le braquage, s’il a bien réussi, prend une tournure barbare et dégénère dans ses grandes largeurs.
Un vieil homme mauvais comme la gale, son fils soumis, une jeune femme indépendante et rebelle et d’autres personnes peu fréquentables mais très intéressées par le magot vont interférer et évoluer en milieu hostile, dans une nature foisonnante et isolée.
Dans ce récit crépusculaire, l’adjudant Walter Brewski est une nouvelle fois embarqué dans une enquête âpre et plus noire que la nuit. Une aventure où la violence et la cupidité se disputent le premier rôle.
Sébastien Vidal
S’il n’écrit pas, Sébastien Vidal lit. Il ne peut envisager de passer une seule journée sans l’une ou/et l’autre de ces activités.
Fin connaisseur de la littérature américaine, il se délecte aussi avec Claude Michelet et Antoine de Saint- Exupéry.
Il tient un blog littéraire, de très bonne facture, Le Souffle des mots, qui attire un public toujours plus nombreux.
En 2017, il a signé Woorara et Carajuru dans la collection Plumes noires.