Lâchez les chiens ! un polar signé Maud Tabachnik, une enquête sur une affaire qui se révèle de plus en plus sombre et coriace.
Lâchez les chiens !
Une enquête sombre et coriace
Quand survient l’assassinat brutal de l’instituteur du village, Bertrand Dumont fait appel à son ancienne amie Fanny journaliste au Matin pour tenter de comprendre ce qui s’est passé.
Dans ce village supposé tranquille du Sud-Est de la France, la montée du nationalisme est présente à tous les niveaux, et s’affiche ostensiblement, même sur la terrasse du café de la place du village.
Un village où règne une atmosphère exécrable, nauséabonde où le racisme s’affiche sans honte. Les étrangers, c'est-à-dire celles et ceux qui ne sont pas d’ici, sont tout sauf les bienvenus. Ils ont le choix de partir, ou de mettre leur vie en péril.
Comme dans Colombo, les tueurs sont connus, mais pour Fanny l’enquête est sombre et coriace.
Tous les mécanismes du nationalisme sont décryptés, et la fin ne manquera pas de vous surprendre.
Un roman court, intense qui fera votre bonheur de lecture le temps d’un voyage.
Résumé
Un pacifique instituteur de village brutalement assassiné, un copain de jeunesse éleveur de chèvres qui se trouve en danger et voilà Fanny, journaliste au Matin, partie pour le Sud-Est.
L’ex-détective privée découvre un pays de la lavande pourri par le racisme et les passe-droits. D’abord malgré elle puis avec passion, Fanny enquête sur une affaire qui se révèle de plus en plus sombre et coriace.
Comment faire éclater la vérité dans une France gâtée par la "peste brune" ?
Maud Tabachnik
Maud Tabachnik est une écrivaine française.
Elle entreprend des études secondaires générales et commerciales, mais, après le bac et quelques hésitations, elle se décide pour la kinésithérapie dont elle sera diplômée en 1963 et qu'elle exercera pendant 17 ans avec une spécialisation d'ostéopathie. Elle est obligée d'arrêter son métier à la suite d'une intervention chirurgicale.
12 commentaires
reste à se demander ce qui a réveillé le nationalisme !
Ce polar ouvre des pistes.
l’image parle
Et le texte aussi
Hello Bernie
Je vais même te citer le nom du journal…c’est Var Matin hi hi hi Le département du Var est bien gangréné par cette peste brune et malheureusement quelques commune s’aperçoivent trop tard qu’il n’y a plus aucune culture, que les villages se dégradent totalement et que voter ce pseudo parti est une chimère….
Bon Mardi
@+ Pat
Eh bien dans ce roman… ce n’est pas Var matin ! Nous sommes d’accord.
Un polar qui a l’odeur montante du racisme ! A découvrir !
C’est exactement cela.
Un polar qui semble original…
Court et original
Quelle tristesse de voir ma jolie région envahie par l’intolérance et la montée du nationalisme, même si heureusement ce n’est que dans ce roman 🙂 Merci pour la découverte, ce polar me tente bien
Alors ce roman te fera froid dans le dos