Dans ce roman, François Cérésa joue à nous perdre dans un jeu de miroirs et de faux-semblants, jusqu’au plus imprévu des dénouements. Un voyage sentimental à travers la France et l’Italie, la légèreté et la gravité …
A un détail près
Il est plein de doutes, fracassé par le décès de son épouse. Elle, belle comme une Italienne, discrètement provocante. Ils se rencontrent à la bibliothèque Richelieu, en plein cœur de Paris. Il reprend confiance, elle se laisse approcher. Les voilà amants.
Mais elle garde ses mystères.
Plus ils sont intimes, plus elle lui échappe.
Est-elle une séductrice ?
Une adepte des boîtes échangistes ?
Une authentique universitaire, comme lui ?
Parfois elle lui rappelle Victoire, sa femme. Joue-t-elle de cette ressemblance ?
Pour tout compliquer, la belle s’appelle Manon. Comme l’héroïne de l’abbé Prévost – et du livre auquel il travaille. De qui est-elle le double ? A-t-elle une vie secrète ? Le diable est parfois dans les détails…
François Cérésa
Né en 1953 à Cannes, François Cérésa est l’auteur de plus de vingt romans récompensés de nombreux prix. Aux éditions Écriture ont paru Merci qui ? (2013), Les Princes de l’argot (2014) et La Montre d'Errol Flynn (2019).
4 commentaires
et oui, le diable est souvent dans les détails !
Ce sont les détails qui font la différence
Hello Bernie
La encore, je reviens de Turin et Turin est pourtant une ville du nord et bien les italiennes sont toujours aussi séduisantes et coquines. Quand on les aborde, elles n’ont aucune agressivité et sont toujours souriantes. Elles apprécient les flatteries sur leurs toilettes. Voila ce que j’aime chez elle, cette compréhension à l’approche avec la gente masculine. Ce qui n’est pas le cas en France et je ne veux pas choquer tes lectrices mais les qualificatifs ne seraient pas de leur gout pour la mentalité française qu’elles ont !
Je te comprends.