‘Quand la belle se réveillera’ un thriller haletant signé Janine Boissard qui a pour cadre les beaux et sombres paysages du Jura.
Quand la belle se réveillera
Comme toujours les personnages de Janine Boissard jouent un rôle essentiel pour captiver le lecteur, et ce thriller n’échappe pas à la règle. Janine Boissard sait créer une atmosphère étouffante, et un suspense captivant.
Une excellente idée de lecture pour les vacances.
L’histoire
Le matin-là, Alma se réveille vaseuse, comme droguée.
Autour d'elle, ça sent la paille pourrie. Reprenant ses esprits, elle se découvre dans une étable abandonnée, enchaînée à un mur.
Qui l'a enlevée ? Pourquoi ?
Son seul espoir : Mathis, son mari, qui, elle le sait, fera tout pour la retrouver.
Entre son ravisseur, un défenseur de la cause animale, et l'adjudant-chef de la gendarmerie de Saint-Point-Lac, Germain Buisson, aidé par Mathis, va se livrer une course contre la montre. Contre la mort ? Qui l'emportera ?
Un thriller haletant, dans les beaux et sombres paysages du Jura.
Janine Boissard
Romancière au plus de cinquante livres et plus de soixante ans de carrière, Janine Boissard fait figure de monstre sacré de la littérature dite « populaire », adjectif dont elle tire une grande fierté.
« Virtuose d'un style simple » pour Paris Match, « plume inoxydable » pour Le Figaro, elle fait régulièrement l'objet de portraits dans la presse, qui cherche sans le trouver le secret de son éternelle jeunesse, et elle est abonnée aux files d'attente dans les salons du livre.
5 commentaires
un défenseur de la cause animale qui ne la défend pas vraiment en agissant ainsi
un vrai suspense
Janine Boissard était placée juste en face de mon stand, au Salon du Livre de Besançon, il y a une dizaine de jours… et mon grand regret, c’est de ne pas lui avoir pris un livre, celui-ci justement, dédicacé…
J’étais trop « focus » sur le mien, qui a fait « l’ouverture du Salon », mais bon, l’excuse n’est pas suffisante.
En rentrant de ce gros we, je suis allée voir son âge : presque 90 !! Wouah… jamais je ne les lui aurais donnés !
Quel dommage de ne pas avoir pris le temps d’aller la voir et lui parler. J’espère que vous aurez une opportunité pour ne pas rester sur ce regret.
Avec toutes mes excuses, mon commentaire est passé sous le nom d’une personne de ma famille, « Sarah Boos », mais bref, c’était mon commentaire (celui de ZALMA), l’ordinateur a pris l’un des noms souvent utilisés mais qui n’était pas le bon, ici…
Bref, c’est moi qui me trouvais en face de Janine Boissard… au passage : elle avait un beau stand, avec pas mal de ses livres, c’était chouette !