Dans ses mémoires, Timothy Hagelstein déclare sa flamme au Portugal. L’artiste à succès rend hommage à sa terre d’accueil, ce lieu qui l’a tendrement enveloppé et laissé éclore.
« Qu’est-ce que j’aime ma vie au Portugal ! il n’est pas encore mon Portugal, mais il le deviendra, j’en suis certain, je découvre des régions, des paysages, des endroits, des spécificités, des mentalités, des offres culinaires qui me séduisent. »
Un pays vu à travers les yeux du « plus portugais des Belges »
« Mon Portugal » est le décor qui a vu Timothy Hagelstein renaître, grandir et se retrouver, spirituellement et artistiquement, dans un parcours qui l’a mené de la chanson à l’édition puis à la poésie.
Ce récit démystifie la vie de conte de fées qui pourrait être idéalisée par son public des années 70 et 80, et montre le chemin épineux gravi par l’homme, émotionnellement fragile, rêveur, mais doué d’une détermination inébranlable.
« Mon Portugal » est aussi un pays vu à travers les yeux du « plus portugais des Belges », comme il aime se décrire : pays qu’il a découvert l’esprit et le cœur ouverts, sans préjugés, toujours réceptif à observer et à absorber tout ce qu’il a vu et vécu, et qui lui a valu la révélation d’une nouvelle vie, mais aussi quelques déceptions.
L’auteur : Timothy Hagelstein
Timothy Hagelstein vit dans le sud de la France où il a trouvé son havre de paix après une vie artistique bien remplie. Auteur-compositeur-interprète de nombreux succès, principalement en Belgique et au Portugal, il s’adonne aujourd’hui à la peinture et à la poésie.
En 1975 il est l’interprète et le compositeur du tube Mona Lisa. Il s’installera des années durant au Portugal où il fera une belle carrière d’auteur, interprète en y vendant plus de six millions de disques (compilations d’artistes comprises).

Mon Portugal
Timothy Hagelstein
232 pages
Editions du Panthéon
4 commentaires
Meme si mon voyage remonte à loin, j’ai de tres bons souvenirs du Portugal.
Et moi, j’ai hâte d’y mettre les pieds.
il est vrai que les portugais sont farouchement attachés à leurs traditions
Oui, c’est exact.