À partir de l’univers de son roman Mers mortes, la romancière Aurélie Wellenstein développe pour Drakoo une histoire complète, nouvelle facette de son monde orphelin des océans.
La Baleine Blanche
Le récit qui oscille entre cruauté et poésie est magnifiquement mis en images par Olivier Boiscommun : il a réalisé des planches en couleur directe d’une luminosité qui donne à la mer, même disparue, des reflets merveilleux et effrayants.
Sortie prévue le 29 septembre 2021.
Résumé:
Bengale erre dans un monde aride, déserté par la mer, où les hommes sont hantés par les océans qu’ils ont condamnés. Lors de terribles marées fantômes, ils sont pris pour cible par les spectres des animaux marins, revenants vengeurs.
Arrivant dans un Paris de fin du monde, Bengale rencontre Chrysaora, une troublante jeune femme qui danse avec les méduses. Ils trouvent refuge à l’Opéra Garnier où un chef d’orchestre tente de communiquer avec une grande baleine blanche.
Jour après jour, les musiciens jouent pour elle : le chef d’orchestre espère récupérer l’âme de son fils, qu’il voit briller dans le corps du cétacé spectral. Mais Bengale et Chrysaora sont-ils bien ce qu’ils semblent ?
6 commentaires
ca à l’air pas mal ce roman ?
C’est très bien
pour le moins original !
absolument
Un bouquin qui semble bien étrange.
C’est une superbe bande dessinée