La Souricière, le dernier polar de Danielle Thiéry, nous plonge dans les tréfonds du darknet et de ce que l’humanité fait de plus sombre.
La Souricière
Une enquête de la commissaire Edwige Marion
C’est un plaisir de retrouver la plume de Danielle Thiéry que j’avais découverte lors de la lecture de son thriller à la sublime couverture Sex Doll.
Entre vengeance, accusations, secrets de famille, recherche du coupable obsessionnelle, souffrance, cette nouvelle enquête du commissaire Marion nous fait basculer dans les tréfonds du darknet et de ce que l’humanité fait de plus sombre.
La souricière : c’est le nom que donnaient les policiers au dédale reliant en sous-sol les cellules de l’ancien « 36 », désormais désaffecté, et l’ancien Palais de justice… Mais ce lieu, chargé de terribles histoires, est-il aussi vide que nous pourrions le penser ?
Dans ce polar, plusieurs affaires s’imbriquent, et nous sommes plongés dans une intrigue parfaitement alambiquée. Des personnages complexes, des multiples rebondissements, un rythme élevé sont les ressorts de ce livre que je vous recommande vivement.
Cette nouvelle aventure du commissaire Marion peut être lue indépendamment des précédentes.
L’histoire
Dans les bas-fonds de la Justice œuvre un dieu vengeur.
Dans les cellules du dépôt de l’ancien Palais de justice, la bien nommée Souricière, un homme séquestre et torture des hommes, des femmes, qu’il juge nuisibles à la société. Il se fait appeler Hadès par ses victimes, et c’est en dieu des Enfers qu’il rend justice lui-même…
Un jour, il croise le fantôme d’une femme disparue. Croît-il.
Quatrième de couverture
Vador, violeur en série, se suicide en prison après la visite d’un mystérieux prêtre. Cette mort bouleverse d’étrange façon la vie de la capitaine Valentine Cara, qui se retrouve au cœur d’un drame familial.
Alors que toute la police parisienne se mobilise pour retrouver un homme politique subitement disparu, les entrailles de l’ancien Palais de justice et les cellules désaffectées de la bien nommée Souricière sont le théâtre de scènes terrifiantes. Un homme qui se fait appeler Hadès condamne et, en véritable dieu des Enfers, juge ceux qu’il estime nuisibles à la société.
Jusqu’au jour où le fantôme d’une femme de son passé revient le tourmenter.
Scénarios criminels et darknet, hallucinations et crimes sectaires… La commissaire Edwige Marion voit se refermer sur elle et son équipe un piège qu’il semble impossible de déjouer.
Danielle Thiéry
Première femme commissaire divisionnaire de l’histoire de la police française, Danielle Thiéry est devenue une figure incontournable de la scène polar.
Elle a reçu le prix Polar à Cognac, le prix Exbrayat et le prix du Quai des Orfèvres pour Des clous dans le cœur.
Article mis à jour le 29 octobre 2022
Entre vengeance, accusations, secrets de famille, recherche du coupable obsessionnelle, souffrance, dans La Souricière, Danielle Thiéry nous plonge une nouvelle enquête du commissaire Marion dans les tréfonds du darknet et de ce que l’humanité fait de plus sombre.
La Souricière
Une enquête de la commissaire Edwige Marion
La souricière : c’est le nom que donnaient les policiers au dédale reliant en sous-sol les cellules de l’ancien « 36 », désormais désaffecté, et l’ancien Palais de justice… Mais ce lieu, chargé de terribles histoires, est-il aussi vide que nous pourrions le penser ?
Dans ce polar, plusieurs affaires s’imbriquent, et nous sommes plongés dans une intrigue parfaitement alambiquée. Des personnages complexes, des multiples rebondissements, un rythme élevé sont les ressorts de ce livre que je vous recommande vivement.
Cette nouvelle aventure du commissaire Marion peut être lue indépendamment des précédentes.
L’histoire
Dans les bas-fonds de la Justice œuvre un dieu vengeur.
Dans les cellules du dépôt de l’ancien Palais de justice, la bien nommée Souricière, un homme séquestre et torture des hommes, des femmes, qu’il juge nuisibles à la société. Il se fait appeler Hadès par ses victimes, et c’est en dieu des Enfers qu’il rend justice lui-même…
Un jour, il croise le fantôme d’une femme disparue. Croît-il.
Quatrième de couverture
Vador, violeur en série, se suicide en prison après la visite d’un mystérieux prêtre. Cette mort bouleverse d’étrange façon la vie de la capitaine Valentine Cara, qui se retrouve au cœur d’un drame familial.
Alors que toute la police parisienne se mobilise pour retrouver un homme politique subitement disparu, les entrailles de l’ancien Palais de justice et les cellules désaffectées de la bien nommée Souricière sont le théâtre de scènes terrifiantes. Un homme qui se fait appeler Hadès condamne et, en véritable dieu des Enfers, juge ceux qu’il estime nuisibles à la société.
Jusqu’au jour où le fantôme d’une femme de son passé revient le tourmenter.
Scénarios criminels et darknet, hallucinations et crimes sectaires… La commissaire Edwige Marion voit se refermer sur elle et son équipe un piège qu’il semble impossible de déjouer.
Danielle Thiéry
Première femme commissaire divisionnaire de l’histoire de la police française, Danielle Thiéry est devenue une figure incontournable de la scène polar.
Elle a reçu le prix Polar à Cognac, le prix Exbrayat et le prix du Quai des Orfèvres pour Des clous dans le cœur.
4 commentaires
On est dans une époque des femmes vengeresses avec le soutien des extrémistes de chez MeToo
un peu
il nous en faudrait des hadès !
oui…